Plage de galets
Place des Tilleuls 68700 Wattwiller
Buvette tous les jours à partir de 17h, les samedis de 14h -19h et dimanches 11h – 19h
Restauration sur place les soirs où il y a un événement
Parcours exposition et événements gratuit s et sans réservation
Visites individuelles tous les jours de 14h à 19h, les dimanches de 11h à 19h
Visites guidées :
contribution de 2€ par personne minimum . Durée : Environ 2h
Sans réservation tous les jours à 16h, les samedis et dimanches à 14h, 15h, 16h et 17h
Visites guidées pour groupes : 2€ par personne – sur réservations au 06.59.27.50.63 ou contact@few-art.org
Visites-atelier : 5€ par personne, matériel inclus (10 personnes minimum, une placegratuite par groupe de 10 personnes). Sur réservation pour groupes. Durée : Environ 2h
12/06
11h Inauguration
Le Domaine Weinzaepfel offrira une dégustation de crémant pour l’apéritif
12h repas sur réservation ou par mail à Argine Jermann, 2 rue des Écoles à Wattwiller, 06 78 88 60 34 après 19h
12h à 17h Visite guidée toutes les heures – Rv à l’accueil
14h à 17h Ateliers artistiques et scientifiques
15h Rencontres avec les artistes près de leurs œuvres
16h Performance du périscolaire de Wattwiller avec Zoé
17h Apéritif concert : Virgiane
Une guitariste-chanteuse, un guitariste soliste, un bassiste et un batteur, vous propose un concert de standards Pop/rock connus de tous et des compositions présentes sur leur album
14/06
18h30 DIALOGUE D’IMAGES
Le thème Ricochets à travers une sélection d’oeuvres dans l’histoire de l’art, présenté par Fanny Munsch
Lien vers le document
Repas sur place après la présentation, préparé par le Fin Gourmet (Moules frites 15€)
17/06
18h Déambulation du collectif Nou, en résidence dans la Communauté de Communes de Thann Cernay
18h30 LA FAILLE VOSGIENNE
Rencontre avec Violaine Chaussonnet et Pierre Ruch
Violaine Chaussonnet a fait plusieurs séjours à Wattwiller et dans les montagnes qui l’entourent. Grâce aux connaissances géologiques de Pierre Ruch, elle s’est intéressée au caractère tellurique de la région, et à la notion de faille que nous partageons avec le minéral.
18/06
à partir de 19h
BAL REBONDISSANT avec DJ Miqi, Le retour du boogie
Le retour du bal après deux années d’empêchement !
Tous sur la piste de danse !
Buvette et tartes flambées au BAR FEW
19/06
17h Apéritif concert Sandrine Weidmann, violon et piano
» L’archet frappe sur la corde avec un degré de force proportionné à sa quantité de notes (Bériot, Méthode de violon). On frappe, on rebondit, on ricoche .. ! »
On parle aussi de ricochets pour désigner des jeux de langage, consistant en une ritournelle de questions et de réponses sans fin.
Jeux de sons, de rythme, de synchronisation, le ricochet est un élément très musical.
Le concert proposé commence par le ricochet du violon tzigane, pour faire échos aux sons rebondissants et volontiers répétitifs du piano, en passant par les cliquetis de la musique baroque et rebondissant sur la chanson « Ricochets » de Georges Brassens comme un clin d’oeil. Le programme évolue d’une pièce à l’autre par ricochets, par jeux de miroir, d’association de tonalités et de caractère évoquant la technique du ricochet.
■ Les Yeux noirs (air tzigane)
■ Hora spicatto, Dinicu
■ Jardins sous la pluie, Debussy
■ Pour remercier la pluie au matin, Debussy
■ L’Aquarium, Saint-Saens
■ Le Tic Toc Choc (ou les Maillotins), Couperin
■ Le Coucou, Daquin
■ Le Rappel des oiseaux, Rameau
■ La Poule, Rameau
■ Tarentelle, Prokofief
■ Les Ricochets, Brassens
Pianiste et violoniste, Sandrine Weidmann est originaire de Metz, où elle effectue ses études en formation musicale, violon, piano, accompagnement au piano, histoire de la musique et musique de chambre.
Sensible au dialogue des arts, elle se forme à l’Université de Paris-Sorbonne en musicologie, dans la spécialité « musique et arts plastiques ».
Passionnée par les arts de la scène, elle collabore avec diverses formations musicales et des artistes de tous horizons plasticiens, comédiens, peintres et danseurs.
Elle enseigne le piano au Conservatoire de Mulhouse depuis 2006.
24/06
18h30 LE VRAI VISAGE DE KETHERYN BABST
Ketherin Babst cultive le mystère et ne s’est jamais montrée en public. Saurons-nous ce soir qui se cache derrière ce personnage ?
25/06
20h30 SOIREE KATIA ET MAURICE KRAFFT
avec André Demaison et Julien Dumont
À partir de 19h, place des Tilleuls, food-truck réunionnais associatif d’Olivyé Mounoussamy, Lo Tikaz
Les relations entre l’eau et le minéral sont nombreuses, souvent parce qu’on les oppose mais aussi parce que leurs forces se complètent et témoignent d’une vitalité géologique de la planète et de son instabilité.
La FEW2022 par son thème Ricochets évoque ce dialogue des éléments, et rend hommage aux deux célèbres volcanologues disparus en 1991 et qui ont habité à Wattwiller les dix dernières années de leur vie.
Nous aurons le plaisir d’accueillir André Demaison, compagnon de route des Krafft dans de nombreuses expéditions et auteur du livre biographique «Les diables des volcans», et Julien Dumont, Titanfilm production, qui a récupéré l’énorme fond photos et vidéos des Krafft et créé la collection Krafft/Dumont qu’il gère. Il a offert à la FEW le droit d’imprimer les images qui jalonnent le village pour marquer les différents lieux d’exposition des 25 éditions de la FEW.
Autour de photos et de vidéos, ils évoqueront ces étonnantes expériences auprès des volcans, la passion et l’humour des deux volcanologues ainsi que l’épopée de ce fond inestimable laissé en déshérence pendant quelques années.
Nous espérons que quelques personnes de la région ayant des souvenirs du couple viendront les évoquer lors d’un échange spontané.
La soirée a reçu le soutien du Crédit Mutuel du Vieil Armand.
26/06
17h Apéritif concert Màrcia et Toninho do Carmo, guitare
Pour le Festival de l’Eau à Wattwiller, Màrcia a fait un choix de musiques brésiliennes dont l’eau est un élément important tel « Águas de março » de Tom Jobim, où on raconte des faits de la vie quotidienne dans sa grande diversité et les pluies en mars qui annoncent la fin de l’été.
« O Rio » une de ses compositions, raconte cette rivière qui est toujours la même tout en étant à chaque instant une autre…
En voyageant plus vers le nordeste du Brésil dans ces terres arides « Asa branca » de Luiz Gonzaga raconte les diasporas, toutes ces personnes qui doivent quitter cette terre qui se désertifie en attendant les pluies.
Et plein d’autres chansons interprétées par Márcia accompagnée par sa guitare.
Márcia est une brésilienne, styliste, fondatrice du projet « Chaussettes Orphelines », musicienne et plasticienne qui habite et travaille à Paris.
Dans les lieux partenaires
Médiathèques
Expositions visibles aux horaires d’ouverture des médiathèques de la Communauté de Communes Site
16/06 au 27/08
Médiathèque de Cernay
15 rue James Barbier 68700 Cernay
Violaine Chaussonnet
Photographies et livre d’artiste

Invitée à participer au parcours de la FEW2022, Violaine Chaussonnet a fait un travail en résidence sur le territoire qui est présenté dans la crypte de l’église de Wattwiller. Elle a également passé une semaine avec des groupes adultes/enfants de l’Agora de Cernay pour leur faire partager son regard sur le monde. Leurs travaux, réalisés en duos, sont accrochés sur le parcours de la FEW.
Elle expose à la Médiathèque de Cernay une série de photographies argentiques commencée en 2020 qui met souvent en scène ses jeunes enfants.
Ses cadrages en plan rapproché révèlent des correspondances entre la chair et la roche. Les ressemblances de formes et de textures nous rappellent que les pierres si dures sont également très douces, et qu’elles peuvent se briser. Mais elles rendent encore plus sensible cette différence essentielle dans la temporalité et la vulnérabilité de ces jeunes corps. Violaine exprime avec force l’émerveillement et l’inquiétude présents dans le regard de toute mère en le rapportant à l’universel.
nos corps comme des pierres est aussi un livre d’une cinquantaine de pages, imprimé et relié par l’artiste elle-même. Ce livre d’artiste a été édité en 13 exemplaires
signés. La photographe présente souvent son travail sous forme de livre où les images dialoguent avec l’écriture qui fait partie intégrante de son travail artistique. Sur le parcours de la FEW, l’artiste présente un «leporello» ou livre accordéon car il se déplie grâce à une technique particulière de pliage et de collage de ses pages.
« La série nos corps comme les pierres est née de mon désir vif et soudain pour l’élément minéral, tandis que je travaillais jusqu’alors essentiellement avec le corps et l’élément végétal. J’ai le désir des pierres dans ce qu’elles ont d’indestructible et de fondamental. Elles sont anciennes, immortelles, proches de quelque chose d’absolu et d’inconditionné.
Avec ce désir des pierres, je suis allée photographier. Et j’ai fait l’expérience de la sensualité des roches : les pierres sont comme des corps qui se frôlent, des corps aimés qui ont des plis, des creux, des fentes, des aspérités ou des saillies…
Le second mouvement qui a fait naître cette série est l’apparition spontanée dans mon esprit d’images qui me hantaient et qu’il me fallait réaliser : des images de pierres posées sur le corps de mes enfants. C’était pour moi dans ces images mentales, la sensation de faire se rencontrer le mortel et l’immortel, le très jeune et le très ancien ; c’était pour moi l’imagination du salut de ces corps aimés. » Violaine Chaussonnet

Livret d’exposition à télécharger
Violaine CHAUSSONNET nos corps comme des pierres
19/06 au 28/08
Médiathèque de Thann
8 rue Anatole Jacquot 68700 Thann
Bernard Plossu et Francis Kauffmann
Photographies
Exposition proposée par la Biennale de photographies de Mulhouse
Commissariat d’exposition : Nicolas Bézard
« Il faut toujours aller là où les routes s’arrêtent sur les cartes, là où il n’y a plus rien », aime à rappeler Bernard Plossu, livrant par ces mots une clé essentielle de son rapport au monde.
En 1989, le photographe publie Le jardin de poussière. Ce livre, devenu mythique, est le fruit de longues marches dans le désert de l’Ouest des États-Unis. À l’écart de la civilisation moderne, mais au plus près des esprits Apaches qui hantent ces étendues de sécheresse, Plossu s’est confronté au silence et à l’infini du paysage, au mystère du visible. Il en a rapporté des images qui, par leur extrême sobriété formelle et le choix assumé du petit format, contredisent l’idée de spectaculaire, et révèlent au contraire un lien intime,
subtil, avec ces lieux empreints de cosmicité et de mythes. Dans l’exposition Là où les routes s’arrêtent, un dialogue se noue entre la lumière limpide du désert américain, si intelligemment restituée dans les miniatures du Jardin de poussière, et celle captée par Francis Kauffmann depuis vingt ans dans les zones les plus reculées du Haut Atlas marocain. Avec patience, humilité et lenteur, à distance des sentiers battus, le photographe mulhousien a pénétré ces montagnes ancestrales, laissant se déposer en lui et sur le prisme de son appareil les lumières qu’elles renferment. Adepte, tout comme son ami Bernard Plossu, de la discrétion visuelle qu’offre l’objectif de 50 mm, il présente ici des images en noir et blanc pour la plupart inédites.